Rêver à Québec |
Avant d'exercer les tâches d'explorateur, de navigateur, de géographe, de scientifique, de naturaliste, d'ethnologue, Champlain était d'abord un rêveur...
Dès 1617, Champlain voit grand pour la petite bourgade de Québec, composée alors d'une poignée d'individus. Il songeait, il rêvait au développement d'une ville d'importance majeure, de la taille des grandes villes européennes.
Cette ville serait Ludovica, en l'honneur du roi Louis XIII et serait bâtie dans ce qu'on appele aujourd'hui la basse-ville...
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12 mars 2006 |
Jean-Claude Marsan, architecte, urbaniste et professeur à l'Université de Montréal, écrivit une vingtaine d'années plus tôt un ouvrage qui fit référence sur l'histoire architecturale de la métropole: Montréal en évolution, Éditions Méridien, 1994. Si l'histoire de Montréal vous intéresse, je vous recommande fortement une visite à votre bibliothèque locale.
Or, ce soir, je lisais un très beau résumé de l'histoire de l'architecture au Québec, sous sa plume.
Compte tenu de l'accumulation notable de neige que nous avons connue cet hiver, du moins dans la région de Québec, le passage suivant m'a beaucoup amusé... Il me faut préciser qu'à chaque hiver, lorsque les chutes de neige m'impressionnent ou que les chutes de température se font persistantes, j'ai souvent une petite pensée pour nos ancêtres qui ont défriché ce pays, et en particulier pour les pauvres Français qui n'avaient jamais rien vu de tel avant de venir s'établir ici:
Pour sa part, le rang offrait une réponse adéquate à plusieurs besoins et à de nombreuses contraintes. Comme les cours d'eau constituaient à l'époque les principales artères de communication de la colonie (et une des grandes ressources alimentaires), cette distribution serrée de censives étroites permettait d'en assurer l'accès au plus grand nombre. La même économie se réalisait par rapport aux routes. De même, ces longues terres étroites permettaient aux censitaires de jouir privément de leur domaine (un précieux privilège pour la majorité), tout en demeurant très près de leurs voisins pour mieux se défendre et s'entraider. Exemple: pour maintenir ouvertes les voies de communication terrestre durant les longs mois d'hiver, chaque censitaire n'avait qu'à déblayer le chemin de desserte sur une distance correspondant à la largeur de sa terre.
 Y avez-vous pensé? En largeur, combien mesurait un rang, une terre concédée durant les siècles derniers?! Les familles pouvaient bien compter de nombreux enfants (et plus vaillants que ceux de notre ère, dont je suis) mais puisque la souffleuse n'était que science-fiction pour nos aïeux, je comprend pourquoi on répète que les "chemins" étaient peu praticables en ces temps-là...
À propos, qui a inventé la pelle à neige? Un Suédois, un Russe?... Je parie presonnellement que ce sont les Québécois qui l'ont perfectionnée!
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Serge Alain @ 19:52 -- Lien permanent --  |
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