Rêver à Québec |
Avant d'exercer les tâches d'explorateur, de navigateur, de géographe, de scientifique, de naturaliste, d'ethnologue, Champlain était d'abord un rêveur...
Dès 1617, Champlain voit grand pour la petite bourgade de Québec, composée alors d'une poignée d'individus. Il songeait, il rêvait au développement d'une ville d'importance majeure, de la taille des grandes villes européennes.
Cette ville serait Ludovica, en l'honneur du roi Louis XIII et serait bâtie dans ce qu'on appele aujourd'hui la basse-ville...
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Coin de rue |
19 avril 2006 |
Rue Saint-Pierre, Vieux-Québec.
La photo ne rend pas justice à cet imposant coin de rue, magnifiquement pavé. Je ne peux m'empêcher de remarquer la vieille publicité peinte sur un mur à droite: les cigarettes Sweet Caporal... Anciennement, ces enseignes se retrouvaient partout à Québec.
Ouverture de la parenthèse
Les autochtones avaient aussi leurs défauts et ce n'est pas d'aujourd'hui qu'ils vendent du tabac...! Lisez plutôt ce résumé... ou si vous n'en avez pas la patience, au moins le témoignage suivant de Jacques Cartier:
À Hochelaga, en amont de la rivière qui parcourt le Canada, pousse une certaine herbe entreposée au cours de la saison d'été par les indigènes qui lui attachent une grande valeur. Seuls les hommes ont le droit de l'utiliser. Après l'avoir fait sécher au soleil, ils la transportent autour de leur cou, enveloppée dans une sorte de sac en peau d'animal, ainsi qu'un instrument creux en bois ou en pierre. Quand ils en ont le goût, ils pulvérisent cette herbe, l'introduisent dans une des extrémités de l'instrument creux, l'allument avec un brandon et aspirent par l'autre extrémité jusqu'à ce que leur corps soit empli de fumée et que cette fumée leur sorte de la bouche et des narines comme de cheminées. Ils prétendent que cette herbe les garde au chaud et en santé et ils ne voyagent jamais sans elle.
Fermeture de la parenthèse
Tout en bas, le pavé se prélasse donc, pour l'agrément du piéton.
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Serge Alain @ 20:28 -- Lien permanent -- |
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