Rêver à Québec |
Avant d'exercer les tâches d'explorateur, de navigateur, de géographe, de scientifique, de naturaliste, d'ethnologue, Champlain était d'abord un rêveur...
Dès 1617, Champlain voit grand pour la petite bourgade de Québec, composée alors d'une poignée d'individus. Il songeait, il rêvait au développement d'une ville d'importance majeure, de la taille des grandes villes européennes.
Cette ville serait Ludovica, en l'honneur du roi Louis XIII et serait bâtie dans ce qu'on appele aujourd'hui la basse-ville...
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Le Cap-Blanc (1) |
02 novembre 2006 |
Le quartier du Cap-Blanc (ou la paroisse Notre-Dame-de-la-Garde) n'est constitué essentiellement que d'une seule rue: la rue Champlain. Un véritable village adossé aux intimidantes parois de la falaise. Victime d'éboulis à plusieurs reprises, il était autrefois le chez-soi des marins et des ouvriers de chantiers navals.
Le boulevard Champlain, au sud de la rue du même nom, fut aménagé dans les années soixante sur des remblais à même le fleuve. Plusieurs derrières de maisons qui accueillaient jadis les marées sur leurs fondations ont maintenant, par la force des choses, une curieuse façade sur le boulevard...
Je ne sur-utilise pas particulièrement l'expression "typique". Pourtant dans le cas de ce quartier, je dirais qu'il est "typique" de la ville de Québec. L'architecture unique de ses maisons, la sinuosité incongrue de ses voies publiques, la couleur du soleil quand il frappe les murs, le froid vif qui vient vous assaillir les joues à chaque coin de rue en février. Ses gens, combattants du froid devenant débonnaires habitants en juillet. Et enfin, le fleuve, ce puissant et infatigable forcené qui se déroule éternellement, jour et nuit, avec le bruit de ses vagues, l'audace de ses marées.
À suivre. |
Serge Alain @ 18:53 -- Lien permanent -- |
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