Rêver à Québec |
Avant d'exercer les tâches d'explorateur, de navigateur, de géographe, de scientifique, de naturaliste, d'ethnologue, Champlain était d'abord un rêveur...
Dès 1617, Champlain voit grand pour la petite bourgade de Québec, composée alors d'une poignée d'individus. Il songeait, il rêvait au développement d'une ville d'importance majeure, de la taille des grandes villes européennes.
Cette ville serait Ludovica, en l'honneur du roi Louis XIII et serait bâtie dans ce qu'on appele aujourd'hui la basse-ville...
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Rue de Bernières |
15 octobre 2006 |
Angleterre, Nouvelle-Angleterre ou Québec City?
Nous voici pourtant rue de Bernières, à Québec, dans cet obscur et romantique contrefort du Parc des Champs de bataille.
Si j'avais le bonheur d'habiter ce coin de ville, je choisirais cette maison feuillue, avec tourelle et girouette...
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Serge Alain @ 20:02 -- Lien permanent -- |
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3 Commentaire(s): |
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Bien contente que vous ayiez fréquenté et photographié ma rue. Contrairement à ce qu'en pensent certainsa, ce n'est pas une rue pour les snobs. Par manque de richesse, plusieurs maisons ont été divisées en condominium ou en appartements de location. La proximité des services est le principal avantage d'y demeurer sans oublier bien sûr la beauté des Plaines.
Voici un extrait des notes toponymiques du site de la ville de Québec.
De Bernières rue Date de dénomination : 24 juillet 1923 Quartier(s) : Montcalm, Saint-Jean-Baptiste Arrondissement(s) : La Cité Le Français Henri de Bernières (vers 1635-1700) voit le jour à Caen, en Normandie. Il est le premier curé de Québec, vicaire général du diocèse, premier supérieur du Séminaire de Québec et doyen du chapitre. Il est élevé par son oncle, Jean de Bernières de Louvigny, qui crée vers 1644 l'Ermitage de Caen, une institution que fréquentera l'abbé de Montigny, c'est-à-dire François de Laval, futur évêque de Québec. C'est d'ailleurs avec Mgr de Laval que le jeune de Bernières s'embarque pour la Nouvelle-France en 1659. Son oeuvre sera importante pour la jeune colonie française : la paroisse de Québec est la première de la Nouvelle-France et son organisation servira de modèle pour l'établissement d'autres paroisses; pour ce qui est du Séminaire, Henri de Bernières est témoin et agent de toutes les étapes de son développement. Il donne au Séminaire son patrimoine et, à la colonie, un tiers de siècle de travaux.
Hélène D.
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Vous faites bien d'apporter ces précisions. Je ne mentionnais qu'une "maison de rêve" à titre de propriétaire-occupant... et à ce compte-là, des milliers de maisons de banlieue sont toutes aussi inaccessibles. Mais je n'ai jamais parlé de snobs!
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C'est exact que vous n'avez jamais parlé de snobs; je ne pensais vraiment pas à vous. Désolée de l'interprétation qui pouvait être faite... Merci pour les belles photos.
Hélène D.
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Bien contente que vous ayiez fréquenté et photographié ma rue. Contrairement à ce qu'en pensent certainsa, ce n'est pas une rue pour les snobs. Par manque de richesse, plusieurs maisons ont été divisées en condominium ou en appartements de location. La proximité des services est le principal avantage d'y demeurer sans oublier bien sûr la beauté des Plaines.
Voici un extrait des notes toponymiques du site de la ville de Québec.
De Bernières
rue Date de dénomination : 24 juillet 1923
Quartier(s) : Montcalm, Saint-Jean-Baptiste
Arrondissement(s) : La Cité
Le Français Henri de Bernières (vers 1635-1700) voit le jour à Caen, en Normandie. Il est le premier curé de Québec, vicaire général du diocèse, premier supérieur du Séminaire de Québec et doyen du chapitre. Il est élevé par son oncle, Jean de Bernières de Louvigny, qui crée vers 1644 l'Ermitage de Caen, une institution que fréquentera l'abbé de Montigny, c'est-à-dire François de Laval, futur évêque de Québec. C'est d'ailleurs avec Mgr de Laval que le jeune de Bernières s'embarque pour la Nouvelle-France en 1659. Son oeuvre sera importante pour la jeune colonie française : la paroisse de Québec est la première de la Nouvelle-France et son organisation servira de modèle pour l'établissement d'autres paroisses; pour ce qui est du Séminaire, Henri de Bernières est témoin et agent de toutes les étapes de son développement. Il donne au Séminaire son patrimoine et, à la colonie, un tiers de siècle de travaux.
Hélène D.