| Rêver à Québec |
Avant d'exercer les tâches d'explorateur, de navigateur, de géographe, de scientifique, de naturaliste, d'ethnologue, Champlain était d'abord un rêveur...
Dès 1617, Champlain voit grand pour la petite bourgade de Québec, composée alors d'une poignée d'individus. Il songeait, il rêvait au développement d'une ville d'importance majeure, de la taille des grandes villes européennes.
Cette ville serait Ludovica, en l'honneur du roi Louis XIII et serait bâtie dans ce qu'on appele aujourd'hui la basse-ville...
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| Petit matin, sans horizon |
| 12 octobre 2006 |
Petit matin, avenue Wilfrid-Laurier, quartier Montcalm.
Il était moins de sept heures. Les éléments achevaient de répandre bruyamment eaux et feuilles dans les rues tandis que beaucoup de citadins dormaient encore.
Sauf moi et quelques autres.
Moi qui rêvait, comme toujours, parapluie d'une main et caméra de l'autre. Tel un somnambule déambulant dans les rues de cette cité perdue dans le temps. Obnibulé par l'espoir d'une lumière sur la ville.
L'automne à Québec, il me semble, a fait ses vrais débuts en ce matin du 12 octobre. |
Serge Alain @ 20:12 -- Lien permanent --  |
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| 2 Commentaire(s): |
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Bonjour,
Je ne vous connais pas personnellement. Mais à travers vos photos et vos textes, je reconnais une personne sensible à la beauté sous ses différentes formes. Étrangement, votre photo me rappelle une chanson de Jacques Dutronc «Il est cinq heures, Paris s'éveille». Évidemment Québec ne s'éveille pas comme Paris... La mélodie de cette chanson m'a toujours fascinée.
Hélène D.
P.S. Comme je demeure tout à côté de la rue Laurier, je suis contente que vous y ayiez fait un tour.
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Je connais un peu Dutronc mais pas cette chanson...
Je me promets de retourner très bientôt dans votre coin, à des heures disons un peu plus ensoleillées!
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Bonjour,
Je ne vous connais pas personnellement. Mais à travers vos photos et vos textes, je reconnais une personne sensible à la beauté sous ses différentes formes. Étrangement, votre photo me rappelle une chanson de Jacques Dutronc «Il est cinq heures, Paris s'éveille». Évidemment Québec ne s'éveille pas comme Paris... La mélodie de cette chanson m'a toujours fascinée.
Hélène D.
P.S. Comme je demeure tout à côté de la rue Laurier, je suis contente que vous y ayiez fait un tour.