Rêver à Québec |
Avant d'exercer les tâches d'explorateur, de navigateur, de géographe, de scientifique, de naturaliste, d'ethnologue, Champlain était d'abord un rêveur...
Dès 1617, Champlain voit grand pour la petite bourgade de Québec, composée alors d'une poignée d'individus. Il songeait, il rêvait au développement d'une ville d'importance majeure, de la taille des grandes villes européennes.
Cette ville serait Ludovica, en l'honneur du roi Louis XIII et serait bâtie dans ce qu'on appele aujourd'hui la basse-ville...
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15 août 2006 |
L'édifice Marie-Guyart en construction (le fameux édifice "G"). Fin des années soixante.
Notez les pâtés de maisons sur la gauche qui ont fait place depuis à d'autres gratte-ciel.
Source: Le Parlement du Québec. Deux siècles d'histoire, Gaston Deschênes et Maurice Pellerin. Les Publications du Québec, 1991. |
Serge Alain @ 08:31 -- Lien permanent -- |
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4 Commentaire(s): |
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Personnellement, je ne remet pas en question ces édifices "gris": ce qui est fait est fait, ça fait partie de l'Histoire. Comme tu dis, la Révolution tranquille a laissé son empreinte, pour le meilleur comme pour le pire.
N'empêche que je serais curieux de revoir ces maisons "chambranlantes", question de les évaluer avec notre regard de 2006. En 1969, probablement que les maisons qui subsistent dans Saint-Jean-Baptiste et Saint-Roch aujourd'hui nous paraissaient assez vétustes et chambranlantes...
;-)
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Ça fait bizarre de voir des placardages à la montréalaise où se dressent aujourd'hui Place Québec et l'édifice de la Haute-Ville, 2 des 3 plus hauts gratte-ciel de la Capitale.
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Si je me souviens bien, dans un livre que j'ai lu, au départ le projet de colline parlementaire, avait beaucoup plus d'édifice gouvernementaux, dans les plans.
Même qu'il n'y avai pas de place pour des hôtels, mais ce projet fut revue à la baisse...
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Voilà. Des fois, un témoignage peut faire la part des choses entre le passé romantique et la dure réalité de l'époque. Malgré les apparences, je ne suis pas de ceux qui croient que la vie était toujours douce au temps de nos prédécesseurs. Je sais très bien que la misère a vécu longtemps dans cette ville (et un peu partout ailleurs) et qu'une belle maison d'autrefois ne saurait nous le faire oublier.
Merci Jac.
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Personnellement, je ne remet pas en question ces édifices "gris": ce qui est fait est fait, ça fait partie de l'Histoire. Comme tu dis, la Révolution tranquille a laissé son empreinte, pour le meilleur comme pour le pire.
N'empêche que je serais curieux de revoir ces maisons "chambranlantes", question de les évaluer avec notre regard de 2006. En 1969, probablement que les maisons qui subsistent dans Saint-Jean-Baptiste et Saint-Roch aujourd'hui nous paraissaient assez vétustes et chambranlantes...
;-)